Diaspora guinéenne

NAMPULA- Un énorme incendie a ravagé plusieurs boutiques appartenant à des ressortissants guinéens dans un marché à Nampula, troisième ville de la Mozambique.

CONAKRY-Elle s’appelle Louabatou, ou du moins le nom qu’elle s’est donnée une fois arrivée en Belgique d’où elle vivait de façon irrégulière.

GENEVE-Un faux marabout guinéen a escroqué  des milliers de francs suisses à une vieille dame âgée de 85 ans. Tout commence par une annonce dans une boîte à lettres.  Après un premier contact, le faux marabout guinéen a promis de soigner les rhumatismes de sa future victime. S'en suit plusieurs séances facturées à 200, 600,

Louabatou Diallo peut enfin souffler! La jeune guinéenne vient de remporter une première victoire pour éviter l'expulsion depuis la Belgique. Après une forte mobilisation dans la ville de Mons contre l'expulsion de la jeune guinéenne vers Conakry,  les autorités belges ont décidé d'octroyer un statut d'étudiante à Louabatou. Désormais, elle n'est plus retenue au centre

Louabatou n’avait que 15 ans quand elle a dû fuir, s’exiler de la Guinée  qui l’a vue naître. Son père, imam, venait de la marier de force à un autre imam âgé d’une soixantaine d’années. Mais grâce à l’aide de son frère, l’adolescente de l’époque a pu s’arracher à cette union marquée par la violence

CONAKRY-Se dirige-t-on vers de nouveau rapatriement de sans-papiers guinéens vivant en Belgique ?

BISSAU- Un ressortissant guinéen a été assassiné dans la capitale Bissau-guinéenne dans la nuit du 17 au 18 octobre 2016

«On m’a demandé de choisir entre l’appartement et la famille, j’ai choisi la famille»: comme Oumar, Guinéen de 16 ans, quatorze mineurs isolés étrangers sur quelque 500 ayant immigré en Loire-Atlantique sont hébergés par des familles, dans le cadre d’un dispositif d’accueil solidaire testé depuis un an par le département. Orphelin, poussé par sa grand-mère

NEW-YORK- L'ex femme de chambre Naffissatou Diallo traverse en ce moment de durs moments.

MONTREAL-Les nouveaux arrivants, hommes ou femmes, dont beaucoup ont été acceptés dans le pays en raison de leurs compétences professionnelles, continuent à être victimes de discrimination sur le marché du travail québécois, selon une nouvelle étude de l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques (IRIS). L'Institut, qui s'affiche comme « indépendant et progressiste », relève que