Ces dernières années, notre pays a été secoué par de multiples crises au cœur desquelles la politique a joué un rôle central. Ces soubresauts ont endeuillé des familles et fortement entamé l’unité nationale, ralenti notre détermination commune à bâtir et renforcer notre nation.
Pendant que la démocratie et l’État de droit sombrent en Afrique subsaharienne, la France et l’Europe regardent ailleurs, se paient de quelques mots, puis poursuivent le train-train de leurs relations avec les dictateurs en place
Plus de soixante années après les indépendances, diagnostiquer les modes de gouvernance en Afrique, essentiellement hérités de la colonisation et émanant de cultures lointaines
Dans le suspense pour la nomination du PM, le Président de la République Son Excellence PRAC a choisi la continuité c’est-à-dire la stabilité institutionnelle.
La jeunesse guinéenne est un orphelin politique, car ses besoins de justice et d’égalité continuent d’être ignorés par les acteurs et décideurs politiques. Ce qui s’explique tout d’abord par un rapport de subordination que la classe politique entretient avec la jeunesse,
Elle se distingue des autres non pas par le genre, mais son caractère, son parcours, ses diplômes, son sens de loyauté à la patrie et son attachement à la sauvegarde de l’intégrité territoriale et la défense des institutions.
La majorité des pays africains ne possèdent pas le minimum d’infrastructures nécessaires pour répondre aux besoins de ses populations et réduire la pauvreté. Or, des infrastructures efficaces constituent indéniablement un facteur de développement socio-économique d’une nation.
Comme tout sondage portant sur la cote de popularité, il a été question de choisir entre des personnalités politiques et publiques. Le choix de l’AGSP a porté sur huit personnalités appartenant à la fois à la société civile et à tous les bords politiques en Guinée